La capitale des Comores que j’appelle de mes vœux le carrefour du grand centre doit s’émanciper afin de pouvoir jouer son rôle. Il faut que...
La capitale des Comores que j’appelle de mes vœux le carrefour du grand centre doit s’émanciper afin de pouvoir jouer son rôle. Il faut que le peuple Comorien songe à s’élever pour servir et construire son capitale. Moroni sera la capitale lorsqu’elle sera pour les autres, jamais pour elle-même. Elle sera l’intégration de l’avenir pour l’espace et dans l’espace. Pour ce faire, soyons des grands acteurs pour ne paraître que des petits spectateurs. Soyons des grands acteurs pour ne paraître que des petits spectateurs. Soyons des grands observateurs pour ne paraître que des petits conservateurs.
La situation qui prévaut aujourd’hui, nous amène à nous opposer contre le silence, contre le bâillonnement de toujours ça ! rien que ça ! . On nous abasourdit de nous contenter à ce que l’on à, si l’on a pas ce que l’on aime. Est-ce que nous ne sommes en droit de penser, à ce que nous aimerions ? Le temps nous observe et ne nous quitte pas. Refusons l’idée selon laquelle, on ne peut que se résigner à s’apitoyer dans son local pour réussir selon la bénédiction du droit divin.
La situation qui prévaut aujourd’hui, nous amène à nous opposer contre le silence, contre le bâillonnement de toujours ça ! rien que ça ! . On nous abasourdit de nous contenter à ce que l’on à, si l’on a pas ce que l’on aime. Est-ce que nous ne sommes en droit de penser, à ce que nous aimerions ? Le temps nous observe et ne nous quitte pas. Refusons l’idée selon laquelle, on ne peut que se résigner à s’apitoyer dans son local pour réussir selon la bénédiction du droit divin.
Nous n’avons pas à avoir peur du présent au risque de se faire juger sévèrement par l’histoire. Le sens de nos réflexions ne devinrent s’arrêter au-dessus de nos ceintures. Chacun de nous a l’obligation de porter encore très haut le drapeau des combats difficiles. Longtemps nous avions dormi sur les lauriers sans jamais se soucier de la force des libellules une fois rassemblées .Pendant longtemps encore, nous eûmes servi en rang de soldat sans être guerrier. Ce n’est pas glorieux !
Le temps ouvrit nos consciences. « Or la conscience ne trompe jamais ; elle est le guide de l’homme ».Ainsi, il parait que « la conscience et la voix de l’âme n’ont été conséquent avec l’objectif ».Ayons donc une idée de nous même pour une bonne conscience à ce qui s’offre en nous. La voix suivra j’en suis sur dans la résonance vibratoire d’influence.
Moroni c’est le globe qui englobe le bambao, le Hambouet Itsandra. Cette agglomération est un grand mariage consanguin en vue de se défendre, de s’administrer pour les grandes causes du pays. Cela peut servir d’exemple pour sortir de nos petits fragments qui ne servent qu’à des échos d’amitié qui s’éloignent de plus en plus. Pour l’heure, les adversaires ne manqueront pas. Réussir cette incorporation dans le respect identitaire de chacune de nos trois régions, ferait de notre capitale le projecteur qu’éclairera notre combat commun.
« L’avenir est ce qu’il ya de pire dans le présent ». N’ayons jamais peur du présent afin de mieux se préparer à affronter l’avenir .Car là aussi il faut savoir que les difficultés agissent dans les difficultés. Par conséquent, les épreuves nous murissent. Cette idée du réel n’est qu’un rêve héroïque à réaliser. Beaucoup d’entre nous, s’obstinent à sonner l’heure, car nous sommes convaincus que le risque en vaut la chandelle. Une mutation s’opère partout dans le monde : nous ne pouvons être l’exception autrement nous vieillissons sans vieillir c'est-à-dire n’avoir comme support de vivre le désœuvrement absolu de l’intelligence.
Encore une fois, ayons une haute idée de nous-mêmes pour comprendre ce qui s’offre en nous, et ce qui s’offre au pays. Ce projet à terme serait le fleuron, la fierté de toute la nation. Un privilège à léguer aux générations de la vie future, les émotions diverses de leurs âmes qui convergent sur le collectif patriotique.
« Personne n’est malheureux parce qu’elle a de l’ambition mais parce qu’elle est dévorée »
Laissi BEN ALI:ridja
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